Bridging the Gap: Implementing Work-Based Learning through the ASEAN-Swiss TVET Initiative (ASTI)
Dr. Siegried Berg, Bunthan Tep, Ursin Marius Saxer
Deutsche Gesellschaft für Internationale Zusammenarbeit (GIZ) GmbH
The ASEAN-Swiss TVET Initiative (ASTI) was launched to address critical challenges in youth employment and skills development across Cambodia, Lao People's Democratic Republic (PDR), and Myanmar. These countries face persistently high rates of informal employment, widespread skills mismatches, and limited access to quality vocational training, especially among out-of-school youth and low-skilled workers. ASTI responds to these challenges by introducing a structured Work-Based Learning (WBL) model grounded in dual training principles from Switzerland and Germany, adapted to the socio-economic realities of the ASEAN region. The initiative seeks to enhance the relevance and quality of TVET systems by embedding practical, company-based training within national qualifications frameworks and fostering close collaboration between government agencies, vocational institutions, and private-sector actors.
This paper examines the rationale, design, and early implementation outcomes of ASTI using a qualitative, multi-method approach. Data collection involved online surveys with private sector stakeholders and implementing companies, written questionnaires with business chambers and government officials, and in-depth interviews with participating trainees. The study focuses on Cambodia and Lao PDR. It aims to assess how WBL is perceived by key actors, what conditions shape its effectiveness, and what strategic adjustments are needed to support scale-up and policy integration. The research also draws on international literature to contextualize ASTI within broader debates on youth employment, skills development, and public–private partnerships in TVET.
Findings from the study reveal strong stakeholder support for WBL as a mechanism to build workforce readiness, improve soft skills, and bridge the education–employment gap. Employers appreciated the contribution of trainees to daily operations and saw WBL as a low-risk pathway to talent development. However, they also reported recurring challenges related to trainee preparedness, limited trainer capacity, and a lack of standardized training materials. Institutional actors highlighted weak coordination and unclear legal frameworks as key barriers to sustainability. Despite these hurdles, the paper concludes that ASTI’s WBL model is widely seen as a valuable and transformative tool. With targeted improvements in orientation, trainer support, stakeholder coordination, and monitoring systems, WBL can become a foundational element of an inclusive, industry-responsive TVET system in the ASEAN region.
DUAL VET in Nepal
Rabindra Singh1, Lekhraj Pokharel2
1Helvetas Nepal; 2Confederation of Bagmati Chamber of Industries (CBPI)
Nepal faces a persistent skills mismatch in its labor market, particularly within micro, small, and medium enterprises (MSMEs), which are crucial to the economy. The limited engagement of private sector in Technical and Vocational Education and Training (TVET) leads to this gap. In response, the Government of Nepal, with technical assistance from Helvetas, launched Swiss Funded Enhanced Skills for Sustainable and Rewarding Employment (ENSSURE) project in 2016 to integrate Swiss-inspired apprenticeship models and foster industry engagement.
The ENSSURE project promotes the apprenticeship model, wherein apprentices gain practical industry experience while receiving formal education. An impact assessment by ETH Zurich (CEMETS) showed that companies investing in apprenticeships received positive returns on investment (ROI), with the total productive contributions exceeding costs and a net benefit of NPR 17,000 over 24 months. The ROI varied by sector, with electrical engineering firms seeing higher benefits (NPR 62,000) than mechanical engineering firms (NPR 6,000), though employer satisfaction was high across industries. Apprentices valued the opportunity for skill acquisition, formal certification, and career advancement.
One of the key success factors in getting on board over 1085 companies to participate in apprenticeship programs, is formal collaboration with Industry Associations, including, the Confederation of Nepalese Industries (CNI). All of them have established a Skills Unit to strengthen skills development.
A study conducted in the Bagmati, Koshi, and Lumbini provinces explores the economic and non-economic factors influencing MSMEs’ participation in apprenticeship programs, such as firm size, resource capacity, reputational incentives, and perceived productivity gains. The study’s findings will inform policies and incentives to increase private sector engagement in TVET.
This research contributes valuable insights for enhancing public-private partnerships in vocational education, offering policy recommendations for scaling apprenticeship programs in Nepal and other developing economies.
La place des langues dans la formation professionnelle et technique (VET/PET)
Abdelmoundir LARBI DAOUADJI
Collège BENCHABANE MOHAMED, Algeria
Dans un contexte de mondialisation et d’évolutions rapides des marchés de l’emploi, la formation professionnelle et technique (VET/PET) joue un rôle essentiel dans l’insertion professionnelle des individus. Cependant, un facteur clé souvent négligé est la place des langues dans ces formations. Que ce soit dans l'apprentissage des compétences techniques ou dans la communication professionnelle, la maîtrise des langues devient indispensable. Ce travail explore l'importance de l’intégration des langues étrangères et des compétences interculturelles dans les programmes de VET/PET, en mettant l’accent sur l'impact de la langue dans l’efficacité des formations.
Cette présentation vise à examiner comment l'intégration des langues étrangères et des compétences linguistiques dans les formations professionnelles et techniques peut améliorer les opportunités professionnelles des apprenants, renforcer l’employabilité et favoriser une meilleure mobilité internationale des travailleurs. L’objectif est de démontrer que la compétence linguistique, loin d'être une compétence accessoire, est un levier fondamental pour la réussite des apprenants dans un environnement de travail globalisé.
Cette présentation vise à examiner comment l'intégration des langues étrangères et des compétences linguistiques dans les formations professionnelles et techniques peut améliorer les opportunités professionnelles des apprenants, renforcer l’employabilité et favoriser une meilleure mobilité internationale des travailleurs. L’objectif est de démontrer que la compétence linguistique, loin d'être une compétence accessoire, est un levier fondamental pour la réussite des apprenants dans un environnement de travail globalisé.
Pour cette étude, nous avons mené une analyse comparative de plusieurs programmes de formation professionnelle en Europe et en Afrique, en examinant la place accordée aux langues étrangères dans ces formations. Nous avons également recueilli des témoignages d’apprenants et de formateurs sur les avantages et défis liés à l'intégration des langues dans les cursus VET/PET. Cette approche nous a permis d'identifier les pratiques innovantes et les obstacles à l'implémentation de ces compétences linguistiques dans les formations professionnelles.
Les résultats préliminaires montrent que la compétence linguistique est souvent négligée dans les formations VET/PET, malgré ses bénéfices pour l'insertion professionnelle. Une meilleure intégration des langues améliorerait les compétences interculturelles des apprenants et faciliterait leur adaptation à un environnement de travail multilingue. Cela contribuerait également à lever les obstacles à la mobilité professionnelle, notamment pour les jeunes diplômés.
En conclusion, la place des langues dans les formations professionnelles et techniques mérite une attention accrue. L'intégration des compétences linguistiques dans ces formations ne doit pas seulement être perçue comme un ajout pédagogique, mais comme une nécessité stratégique pour répondre aux exigences du marché du travail globalisé. Cette réflexion ouvrira des pistes sur la manière dont les formations VET/PET peuvent s’adapter aux défis contemporains, en favorisant une éducation plus inclusive et plus connectée à la réalité internationale.
Dans un contexte de mondialisation et d’évolutions rapides des marchés de l’emploi, la formation professionnelle et technique (VET/PET) joue un rôle essentiel dans l’insertion professionnelle des individus. Cependant, un facteur clé souvent négligé est la place des langues dans ces formations. Cette présentation explore l'importance de l’intégration des langues étrangères et des compétences interculturelles dans les programmes de VET/PET, et démontre que la compétence linguistique est un levier fondamental pour la réussite des apprenants dans un environnement de travail globalisé. L’étude se base sur une analyse comparative de programmes de formation en Europe et en Afrique, ainsi que sur des témoignages de formateurs et d’apprenants. Les résultats suggèrent que l'intégration des langues dans ces formations améliore l’employabilité, la mobilité internationale et les compétences interculturelles des apprenants. Cette communication plaide pour une révision des curriculums VET/PET afin de mieux intégrer les compétences linguistiques, non seulement comme un atout pédagogique, mais comme un impératif stratégique pour préparer les travailleurs aux défis contemporains du marché global.
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